Valeurs du rugby appliquées à la vraie vie: l’esprit d’équipe

Poursuivons notre exploration des valeurs du rugby et comment les appliquer dans nos vies personnelles et professionnelles. . Après l’engagement et le respect, voici aujourd’hui: l’esprit d’équipe.

 

L’esprit d’équipe, c’est pourtant simple!

esprit d-equipeLes entreprises font régulièrement appel à des cabinets de consultants pour renforcer la cohésion d’équipe, capitale pour mener à bien toutes sortes de projets collectifs. Ces formations sont de plus en plus complexes, souvent pour des résultats limités et peu durables. Je suis assez convaincue que cette complexification, si elle est assez sexy sur le plan marketing – une technique complexe avec des noms de préférence anglo-saxons un pouillème obscurs, ça doit être un truc super pointu issus des recherches très poussées de gens hautement intelligents; est à mes yeux peu efficace.

Je suis à l’inverse convaincue que l’esprit d’équipe et la cohésion qui en découlent reposent sur des principes simples, tels que ceux qui font de l’esprit d’équipe dans le rugby ce qu’il est: une volonté sans faille d’engagement collectif vers un seul but, commun à tous, qui englobe tout un tas de comportements aux multiples bénéfices, en termes d’atteinte de l’objectif, de performance, d’estime de soi, de sentiment de reconnaissance et d’appartenance.

Dans le rugby plus que dans n’importe quel autre sport d’équipe, une équipe qui ne fonctionne pas collectivement et où l’engagement est au service de l’individu et non du collectif n’a aucune chance de vaincre ses adversaires.

Or, la capacité à l’engagement collectif est un état d’esprit qui se développe et non une caractéristique inhérente à quelques élus chanceux. Là encore, le rugby peut nous apporter un éclairage intéressant sur ce qui peut être mis en oeuvre pour transformer un équipe au sein d’une entreprise, mais aussi tous les groupes auxquels nous appartenons, couple, groupe d’amis, famille, associations etc.

Analogies entre rugby et vie professionnelle: une ecole de la vie au travail!

 

 

L’esprit d’équipe, version rugby

 

Pierre Mathis

Journaliste  pendant 12 ans à l’Indépendant à Perpignan, en charge du rugby. Rédacteur de l’Usap petit côté @Pierre_Mathis sur Twitter.

“C’est un sport où le pilier qui craque en mêlée, le buteur soudain inefficace où le plaqueur qui oublie une seule fois son adversaire peut faire perdre son équipe. En revanche, le génie du jeu, quel que soit son talent, est plus dépendant de ses coéquipiers que dans tous les autres sports. Le talent individuel n’y a de sens que si le collectif a aussi du talent.”

 

Maxime Rouqié

Responsable du développement de l’aribtrage et arbitre en fédérale 2. Co-fondateur du Rugbynistère dont il gère la rédaction et la communication. – Troisème ligne – @LeRugbynistere sur Twitter.

“La solidarité. Sport de combat collectif par excellence, le rugby exige d’avoir un excellent esprit d’équipe. On entend souvent les joueurs parler d’une « bande de copains » pour expliquer la bonne santé de leur groupe. Dans un groupe de 22 personnes, on retrouve des personnalités extrêmement différentes mais la force de ce sport est de jouer ensemble sans faire de différences de couleur de peau ou d’opinions politiques. Il est indispensable d’avoir confiance en son coéquipier pour jouer libéré… n’est-ce pas la même chose au travail ? Une des clés du succès professionnel est de réussir à déléguer le travail.  Pour cela, la complémentarité et surtout la confiance en son collègue est indispensable. A l’image du rugby, il est important d’avoir des hommes qui s’entraident. Et pour travailler cette solidarité quoi de mieux qu’une… 3ème mi-temps ?”

 

Georges Kauffmman

Responsable de l’exploitation des partenariats sportifs pour la Banque de Détail en France de la Société Générale, plus particulièrement en charge des axes corporate golf, rugby et handisport. Très grand amateur de sport, tout sport.

“On ne réussit pas au rugby sans l’équipe, même le plus brillant des joueurs. Transposé à la vie tout court : on a toujours besoin des autres (le rugby est donc aussi là pour nous le rappeler !) ; cf le film de d boyle (127 heures) en ce moment à l’écran. Ceci pour sortir notre société de la déferlante indivualiste qui la mine et qui mine le monde économique.

Une entreprise qui soutient un sport pour lequel l’esprit d’équipe est l’essence même du jeu, est une entreprise qui va vers les autres, qui écoute et propose des produits adaptés aux besoins.”

 

Marie-Laure Vilmay

Partage la vie d’un rugbyman depuis 11 ans. Blogueuse: Le blog d’une femme de sportif  – @femmedejoueur sur Twitter.

“L’amitié et le partage parce les équipes de rugby sont tres souvent des groupes unis. Impossible de jouer avec quelqu’un qu’on deteste profondément ou impossible de detester profondément quelqu’un avec qui on joue, je ne sais pas 🙂

La cohésion et le partage(encore). Dans ce sport peut etre encore plus que dans d’autre chaque joueur a un rôle bien defini et a un rôle important au sein de l’équipe. On est donc obligé de jouer avec les autres, de partager avec les autres. L’esprit de groupe est beaucoup plus fort qu’au foot par exemple.

Dans la vie professionnelle, je pense que c’est exactement le sport à prendre en exemple quand on bosse en équipe. Quand un Chabal ou un Servat sont dans la meme équipe qu’un Parra ou qu’un Elissalde, et que l’un a autant besoin de l’autre pour avancer, c’est là que tu vois la force du groupe et l’utilisation au mieux des qualités de chacun, le partage. C’est un peu la meme chose dans la vie personnelle, ne pas considérer les autres comme des adversaires mais comme des coéquipiers potentiels avec qui tu peux partager et qui peuventt aussi t’aider à te dépasser.”

 

Pierre-Olivier Carles

Dirigeant de Kipost, une société qui aide à se lancer des projets qui le passionnent, comme Vie de Manager,Labotec, Hellotipi etc.  et blogueur (http://www.pocarles.com) – ancien ailier – @pocarles sur Twitter

Pour Pierre-Olivier, l’esprit d’équipe prend aussi la forme du sens du sacrifice:

“Vous avez tous vu un joueur se jeter sur un placage désespéré pour éviter un essai et, ce faisant, se blesser. Cette nécessité de se donner pleinement, quoi qu’il advienne est la pierre de voute de l’équipe de rugby. Je vais me sacrifier pour sauver mon équipe ou pour permettre à mon co-équipier de faire vivre le ballon, de jouer un peu plus loin,  de faire briller l’équipe. Je vais le faire parce que je sais que lui le ferai à ma place. Dans les grandes entreprises, le sacrifice relève souvent – et malheureusement du suicide professionnel,  car l’abnégation est difficile à reconnaitre au sein de grandes organisations surpeuplées. Dans les petites, on retrouve la même sensation qu’au rugby, car la valeur de votre sacrifice éclate alors en pleine lumière, pas pour faire de vous un héros mais par ce qu’elle va apporter à ceux qui travaillent avec vous.”

 

Pierre Denier

Directeur des ventes internationnales chez Lippi France et passionné de relations humaines. Accompagne aussi les demandeurs d’emploi – Blogueur: Hauts les coeurs!!  @PierreDenier sur Twitter

“La notion de loyauté, que je n’évoque pas forcément le dévouement dans son excès, mais bien la conscience de sa place au sein d’un groupe, la connaissance de l’impact de nos comportements sur l’ensemble des autres individus. La loyauté, c’est l’inverse de la méthode ATM, “À Toi Marcel” dite méthode de la patate chaude, en gros, on ne pénalise pas l’ensemble d’une structure par confort, lâcheté ou facilité. Puisque nous sommes tous un maillon d’une chaîne, ne fragilisons pas l’ensemble pour les raisons évoquées ci dessus, cette valeur favorisant également le sentiment d’appartenance et de respect.

j’ai le sentiment qu’un état d’esprit peut favoriser l’application de ces valeurs : la curiosité, être curieux de tout pour garder une large et vraie ouverture d’esprit. Encore une fois, toujours souhaiter aller plus loin, à son rythme, mais avancer, bouger, s’intéresser aux choses, aux gens pour développer son empathie, sa perception de l’autre et mieux le comprendre pour mieux le respecter. Etre en éveil constant pour mieux profiter, au sens noble, pour mieux percevoir et aussi mieux recevoir..”

 

Jean-Marc Ouvré

Technophile communicant  – Community Manager pour la Société Générale après un passage par la rh/formation et des agences de communication interactives – blogueur : Ouvré’sCorner   @jmarc sur Twitter

“cette valeur va souvent à l’inverse de notre fonctionnement (notre cerveau est bien dans notre tête, notre coeur pas dans la main etc) et pourtant la force d’une équipe c’est son fonctionnement, son unité et non pas la force individuelle et du coup on est vraiment dans le partage, l’entraide, porter attention aux autres comme à soi pour bien passer le mouvement sans se parler ou presque.

Dans ma vie personnelle cela m’apporte toujours pas mal de joies à vibrer et m’enthousiasmer, m’émerveiller de gestes, de combinaisons, de tensions, de matchs que l’on croit joués qui se retournent, cela me permet de toujours rencontrer de nouvelles personnes, de démarrer des discussions, de partager, d’écouter, d’apprendre.

Dans ma vie professionnelle, cela a probablement du m’influencer et encourager certains traits de ma personnalité autour de l’esprit d’équipe, le respect, l’écoute et la tenacité.”

 

Nicolas Rousse

Business officer, co-fondateur du Rugbynistère dont il gère la technique et la stratégie. – Troisème ligne –@LeRugbynistere sur Twitter.

“L’esprit d’équipe va de paire avec le fait que c’est le seul sport de combat collectif. Les liens entre les joueurs, qui constituent la base de cet esprit d’équipe, sont nés à la fois dans le combat, les épreuves et le sacrifice, mais également dans les victoires, les bons moments, et… les apéros !

Mais comment appliquer cela dans un cadre professionnel ? Difficile d’imaginer une ambiance de 3ème mi-temps en entreprise… pourtant, utilisée avec justesse, c’est d’une valeur ajoutée sans égal !

…et une base particulièrement solide pour un excellent management de la créativité. En effet, d’une équipe qui s’amuse sortent naturellement les meilleures idées. On voit d’ailleurs déjà depuis longtemps dans de grandes entreprises, des actions dont l’objectif est de faire en sorte que les employés s’amusent entre eux de manière productive, avec le but parallèle de créer un esprit de groupe. Google par exemple, met à disposition de ses employés des terrains de sports collectifs, des salles de jeux, et offre ½ journée libre par semaine, durant laquelle les employés travaillent sur des projets de leur choix, en s’amusant ou simplement par passion… quelques produits Google à gros succès sont d’ailleurs nés ainsi…”

 

Vincent Rostaing

Dirigeant de Le Cairn 4 IT conseil accompagnement à la gestion du cycle de vie des collaborateurs dans le domaine des Technologies de l’Information – Blogueur Le Cairn 4 IT  @lecairn et @lecairn_sport sur Twitter.

“L’engagement individuel au service de la performance collective, pas d’abnégation : on ne s’oublie pas , au contraire on se retrouve dans ce don de soi pour atteindre un but qui transcende notre gloriole personnelle, accomplir quelque chose de grand, ensemble . Cet engagement n’est possible que parce qu’on a confiance et qu’on sait que chacun va faire sa part du boulot et plus s’il le faut. Il y aura du soutien, je ne vais pas subir seul l’impact d’un autobus en allant percuter ce 3eme ligne, mes gros sont derrière, et dans le pire des cas,une gazelle jouera au gros.

L’engagement collectif : ensemble , on veut faire honneur au maillot, gagner ou perdre mais dignement, avec honneur, en se montrant vaillants et combattants, tout donner car on sait que les excuses n’existent pas à ce jeu là, si vous avez été vaillants et que vous avez perdu, l’adversaire était plus fort que vous , point barre. Si vous n’avez pas été vaillants, vous avez beau avoir vaincu, l’adversaire et le public vous feront sentir qu’ils n’acceptent pas ce manque de respect que vous avez « triché », vous ne vous êtes pas livré pleinement.

 

 

Gabrielle le Tonnelier de Breteuil

Sportive amateure touche-à-tout et spectatrice assidue de tous les sports, masculins… comme féminins. Relaye l’actu des sportives et pointe le sexisme dans le domaine du sport sur son blog Entrées en lice  @GabrielleEsur Twitter.

“Le collectif, c’est savoir se remettre en cause, être ouvert d’esprit et curieux sur ce qu’on a dire les autres, l’entourage, les amis et la famille. C’est toujours garder à l’esprit qu’on ne peut pas toujours foncer tout droit, tout seul. La solidarité, c’est la réciprocité, c’est être là pour les autres. Si ta coéquipière a besoin de te faire la passe, elle sait que tu es là, disponible, dans l’intervalle. C’est ne pas imposer son aide ou sa présence, mais la proposer. C’est être fiable.”

 

Etienne Glemas

Jeune presque trentenaire fou de sport, de ses valeurs, de son atmosphère, du plaisir simple qu’il procure. Entré à la communication de la Société Générale par la porte “Coupe du monde de rugby 2007” via l’angle médias sociaux @eglemas sur Twitter

 Esprit d’équipe enfin, moteur de ce sport qui ne peut se jouer qu’en équipe. Pas de place pour les stars ou les individualités, ici le Talent d’Or est souvent celui qui a fait briller ses partenaires ! En bref, le rugby c’est des valeurs simples et vraies !

Ce qui me plaît dans le rugby, c’est que c’est un sport simple, avec des valeurs simples, des valeurs vraies. Alors les appliquer tous les jours me semble aussi simple et naturel. Certainement faut-il rester soi-même ? Convivialité, respect et esprit d’équipe forment un tout essentiel à mon équilibre tant professionnel que personnel. Une sorte de cercle vertueux. Qu’’une de ces valeurs soit là, et les autres suivront !”

 

Fabien Dusarrat

Chargé de communication audiovisuelle. Natif des landes (d’où vient sa passion du rugby), il réalisé un mémoire universitaire sur les valeurs du rugby en mai 2009 dans le cadre d’un master de communication. – @cq_F_D sur Twitter.

“Le collectif avant tout. Le rugby n’est pas une somme d’individualités. On le voit au plus haut niveau avec la réussite de clubs comme le Stade Toulousain ou le Leinster …Ce sont des clubs  structurés, stables, mais aussi et surtout avec un groupe qui se connaît depuis des années. Il est toujours plus facile d’aller “au charbon” pour son copain, avec qui l’on partage le quotidien depuis des années plutôt qu’avec un mercenaire, venu au club pour une grosse somme d’argent. La mêlée, avec la grande proximité des corps, est le symbole même de cette camaraderie, cette fraternité nécessaire à tout collectif.”

 

Esprit d’équipe, égo et motivation

Pour insuffler l’esprit d’équipe, il y a d’abord l’importance de la motivation. Concrètement, un joueur non motivé n’a pas sa place dans l’équipe. Or la motivation principale d’un joueur de rugby c’est évidemment le plaisir, seul moyen d’accepter la rudesse d’un match. Le plaisir serait-il le moyen de supporter les épreuves quotidiennes liées à une vie professionnelle? Probablement. Il est donc indispensable de constituer une équipe en fonction du plaisir qu’elle va prendre à s’engager dans les objectifs communs. Inversement, à chacun d’entre nous d’évaluer son propre  plaisir au sein des groupes auxquels nous appartenons et de prendre les décisions correspondantes. Et oui, jusqu’à changer de job si nécessaire.

Par extension, cela signifie que lorsque la motivation est uniquement du domaine de l’égo individualiste, en d’autre termes y trouver des moyens de tirer la couverture à soi, y compris aux dépends des autres, alors nous ne sommes pas au service de l’engagement collectif, et la recherche de ce bénéfice individuel peut générer des tensions au sein de l’équipe et freiner l’atteinte de l’objectif.

créer du lien pour favoriser l'engagement

 

Lors des journées des Ambassadeurs du rugby, Fabien Barcella et Anthony Lagardère ont insisté sur la nécessité de “gérer les égos” pour pouvoir faire vivre une équipe.  Or, le principe est le même que les égos soient sur- ou sous-dimensionnés: la difficulté à se reconnaître soi-même et la peur de l’autre, qui peuvent s’exprimer autant par le sentiment d’infériorité que de supériorité. Au sein d’une entreprise, cela peut signifier identifier ceux ces comportements et répondre à leurs besoins. Il est pour cela indispensable d’avoir des managers à même de déceler ces difficultés et de connaître les éventuelles solutions pour y remédier. Ainsi que d’avoir la marge de manœuvre nécessaire en termes de propositions de formations, accompagnement etc. On en est loin, à la fois en termes de formation et de temps dont ils disposent.

Cette reconnaissance, dans le rugby, passe aussi par un principe très simple: chacun a un rôle très précis, avec ses tâches inhérentes et ses limites, et chacun connaît parfaitement son propre rôle et celui de ses coéquipiers. Il est alors naturellement plus facile d’évaluer le moment où le coéquipier a besoin d’aide et de soutien, le moment où il est temps de passer la balle (et à qui) etc. Appliqué à l’entreprise comme dans la vie personnelle, cela signifie  des tâches réparties clairement, dont chacun a connaissance et comprend l’importance des interactions entre ses propres tâches et celles des autres. En bref, il sait en quoi il est un maillon indispensable de la chaîne. Ramené à la cellule familiale, il en va de même. A quoi bon s’étonner que Kevin ne range pas sa chambre s’il n’a jamais été déterminé clairement que c’est sa participation concrète à l’équilibre domestique?

 

Mini coaching: mettre un peu d’esprit d’équipe dans sa vie

Vous pouvez faire un point sur tous les groupes auxquels vous appartenez: entreprise, famille au sens restreint ou large, équipe sportive, associations etc.

Dans quelle mesure le groupe est-il orienté vers un but commun clairement défini?
Dans quelle mesure vous sentez-vous investi(e) et motivé(e) par ce but commun?
Dans quelle mesure y trouvez-vous du plaisir?
Qu’est-ce que ça vous dit sur votre appartenance à ces “équipes”?

Dans quelle mesure votre propre rôle et celui des autres sont-ils clairements définis?
Dans quelle mesure savez-vous que vous pouvez compter sur leur soutien?
Dans quelle mesure savez-vous ce que vous pouvez apporter, et comment les soutenir?
Dans quelle mesure vos craintes limitent ce que vous avez envie d’apporter?
Comment diminuer ses craintes et évoluer davantage en confiance?

Dans quelle mesure les craintes et égos des autres limitent leur apport au groupe?
Comment les gérer?

En fonction de votre statut au sein de chaque groupe:

Dans quelle mesure pouvez-vous demander une clarification des objectifs ou des rôles?
Dans quelle mesure pouvez-vous apporter des éclaircissements sur les objectifs ou les rôles?

 

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Aller plus loin

Vous voulez construire une vie personnelle ou professionnelle conforme à vos valeurs et à vos aspirations? Pensez a coaching ou au développement personnel. Pour tous renseignements, contactez Sylvaine Pascual au 01 39 54 77 32.

 

 

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